. Le rythme est digne d’un jeu vidéo. Chaque scène, courte, apporte une information, les séquences s’enchaînent sur un rythme soutenu. A tel point que l’intrigue nous entraîne automatiquement. Il n’y a aucun doute: on veut savoir ce qu’il se passe, en cela c’est déjà une réussite.
. Cinq parties distinctes qui mettent l’eau à la bouche: 2024, puis 1988, 1997, 2006 et 2015. Leur décor bénéficie d’un soin particulier, on salue la lumière mystérieuse de la Lune dans chaque partie.
. Si vous avez aimé Predestination, Timecop ou Minority Report, ce film mélangeant crime et voyage temporel est fait pour vous.
. La fin très émouvante.
. La bande-son énergique et sensible.
. De nombreux clichés, mais de façon aussi étrange que l’intrigue, le film les expédie et les imbrique avec habilité au récit général.
. La fausse barbe du héros à un moment donné!
L’histoire
Un policier est obsédé par la traque d’une mystérieuse tueuse en série dont les crimes, qui défient toutes explications, ont lieu tous les neuf ans…
In the shadow of the moo de Jim Mickel avec Michael C. Hall, Boyd Holbrook, Cleopatra Coleman…
Durée: 1h55.
Sur Netflix.
In the Shadow of the Moon
- Dolemite Is My Name
- Stephen King’s Doctor Sleep
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