. Une comédie visqueuse aussi insensée que le premier volet. Le scénario et les scènes ne respectent rien et tant mieux. C’est de l’alcool en images, un divertissement cinglé à savourer au douzième degré, en témoigne la coupe de cheveux de Woody Harrelson.
. La relation désopilante entre Eddie et le symbiote : l’histoire d’amour d’un vieux couple.
. Les répliques drôles et incisives de Venom lorsque celui-ci reste dans l’ombre.
. La justesse de l’interprétation de Tom Hardy, en journaliste gauche, piégé dans la bipolarité.
. La scène de l’église, point d’orgue chaotique du film. L’affrontement part dans tous les sens grâce aux effets spéciaux divins.
. Woody Harrelson qui renoue (un peu) avec la démence de son personnage de Tueurs nés et rappelle les agissements du méchant dans Highlander.
. La caméra virevoltante d’Andy Serkis.
. Les personnages secondaires, vigoureux et amusants.
. Si vous aimez Venom.
. Ca ne vole pas haut, il faut laisser son cerveau de côté.
. Le scénario très simpliste.
. L’inutilité de la scène au milieu du générique de fin.
« Vous savez ce que veulent les secrets ? Sortir. C’est pour cela qu’ils sont difficiles à garder. »
Un an après avoir affronté Riot, Eddie Brock « cohabite » toujours avec le symbiote Venom. Il se rend en prison pour interviewer le tueur en série Cletus Kasady. Il ignore que ce dernier est lui aussi l’hôte d’un symbiote…
« Venom 2 Let There Be Carnage » d’Andy Serkis, avec Tom Hardy, Stephen Graham, Woody Harrelson…
Durée : 1 h 30.
Sortie le 20 octobre 2021.
Image Copyright Sony Pictures.
