« Le Braquage du siècle » : l’égout et les couleurs

« Le Braquage du siècle » : l’égout et les couleurs

« Le Braquage du siècle » : l’égout et les couleurs



. La simplicité de l’histoire.
. Un divertissement absolu et sans chichi.
. L’histoire vraie, source du film : celle de la bande d’Araujo qui organisa le casse de la Banco Río d’Acassuso en Argentine, en 2006.
. L’alchimie entre les personnages, sympathiques.
. La part notable de comédie, l’absence d’effets de style présomptueux.
. Les plans en « tranche », qui apportent une originalité : les tunnels, les trous, les sédiments et les personnages vus comme à travers un vivarium.
. La photographie très bariolée.
. Les flashbacks qui expliquent peu à peu le plan.
. Le début du braquage, véritable démarrage du film.
. Le générique de fin, rempli d’informations pertinentes.
. Si vous aimez Inside Man, La Casa de Papel, Pour cent briques, t’as plus rien, Les pirates du métro…




. Les quinze premières minutes molles, avant le début du casse.

Une réplique savoureuse?
« Tu veux qu’on entre déguisés en sac de couchage? »


L’histoire
Argentine, 2006. Un groupe de cambrioleurs s’apprête à réaliser un des plus célèbres et des plus ingénieux braquage de l’histoire d’Argentine, celui de la banque Río.

Le Braquage du siècle d’Ariel Winograd, avec Guillermo Francella, Diego Peretti, Juan Alari…
Durée : 1h54.
Sortie le 8 septembre 2021.

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